ALLAOUI BAAYA
LA SYMPHONIE FANTASTIQUE de HECTOR BERLIOZ
TEXTE DE ROBERT SCHUMANN
Ce qui retient l’intention dans l’étude de l’esthétique ici concerne son questionnement sur l’œuvre de Hector Berlioz la symphonie fantastique œuvre romantique de 1830. Symphonie dans laquelle le compositeur traite les pupitres différemment des compositeurs du classicisme viennois puisqu’il associe les pupitres par timbres et non pas par familles que sont les vents, les cuivres les cordes, les percussions. Cette ouvre rend hommage à Nicolas Ier de Russie. Elle est représentée en 1830.
Hector Berlioz est un chef d’orchestre critique musical né en 1803à la côte de Saint-André.
Son traité le plus connu de 1830 est le grand d’instrumentation et d’orchestration moderne dans lequel il expose les nouvelles techniques qu’il a mis au point, sa façon très conventionnelle de poursuivre l’héritage de la composition dans la symphonie, les pièces lyriques, les œuvres pour petits effectifs et les manières d’analyser les partitions d’orchestre.
Nous pouvons alors nous demander derrière cette œuvre symphonique, si elle correspond à de la musique pure ou à de la musique à programme dans laquelle le compositeur juxtaposerait ses influences du théâtre de l’opéra et la richesse du langage de tous les registre de la musique sans paroles ?
Nous traiterons les éléments du texte en étudiant les éléments du répertoire de qui constituent les symphonies de Berlioz, ensuite la musique la musique à programme et enfin la symphonie en tant que musique pure sans traitement extra musical.
Dans le premier paragraphe, on voit que Robert Schumann explique qu’Berlioz aurait confondu le langage orchestral en donnant à l’œuvre une narration à partir d’outils extérieurs aux langage parlé, mais qui participe au drame, le champ lexical de l’opéra, du chant est exploité : « drame, opéra « ; ces multiples possibilités, on le sait sont les figuralismes, les instruments selon leur factures et leur son, participe à tel moment , ou nous donnent le sentiment d’entendre tel personnage. À l’époque baroque, l’usage des trombones, symbolisaient les enfers, qu’ici ils corroborent à plonger l’auditeur dans un climat de la Russie nationaliste ; entre rythmes militaires sur ostinato, entres notes répétées, la symphonie en quatre mouvements rapide, lent, plus rapide et lent, narrent l’éventement politique sous le règne de Nicolas I et de Russie.
Lorsque l’on bascule dans la Musique a programme, ce qui peut faire partit de l’idée de l ‘opéra est finalement à ranger dans l’étude de la musique à programme, car proprement parlé, ça ne chante pas. On devine les mots selon le sens que l’on fait de cette symphonie selon ces mouvements ;
Hector Berlioz remplace le tsar par un musicien .au lieu du nationalisme, il parle d’un amour homosexuel d’un musicien pour un écrivain ; toutefois la musique à programme rappelle une fois de plus l’opéra même si le climat est différent et les techniques du pré tonal au tonal du baroque de Monteverdi, au romantisme de Berlioz sont différents, pourtant, le thème des passions qui fait débat est là et interroge Robert Schumann.
Une autre œuvre de Berlioz pourrait nous montrer sa passion de l’intrigue et de la psychologie est celle de Faust dans laquelle Goethe, l’auteur du livre, objet principal de l’œuvre, rend hommage à Wagner. Dans cette musique on devine ici l’idée de la tourmente, le son intrigue et consterne, nous emmène là ou ne trouve pas de repaire de stabilité malgré la phrase entêtante de certains passages par des notes répétées. Les sons sont interrompus par des silences les notes sont brèves, comme formant des points d’interrogations dans une phrase suspensive. Robert Schumann parle bien paragraphe 3 de rêve, d’imagination. Il y a se l’on lui le contraste de la passion, de la douleur, de la frénésie interprétée par les rythmes rapides et les notes répétées, des cuivres et des percussions. Cette mélodie évidente et simple dans le premier mouvement nous montre une scène pastorale puisqu’il est évoqué l’usage de la flûte, donc l’instrument du berger.
On peut dans une autre partie du texte voir que cette symphonie représente une invitation au voyage, paragraphe 4 toujours dans l’idée dans le but de troubler l’auditeur. Même si on se trouve encore dans une campagne, l’idée de fantastique traduit bien l’esprit pastorale, de la légende médiévale, du lied médiéval allemand qui est un poème chanté sur le thème de la nature. Mais juste en apparence puisque le lied représente une musique piano chant avec un faible matériau du point de vue de la masse sonore. Le chant doit être comme ici malgré tout composé d’une ligne organique simple peu complexe. Mais la narration du sujet qui trouble l’auditeur doit être étoffée, pour se dépasser dans le monde de la ville ou les gens danse dans l’aristocratie. Ou alors l’usage de l’art courtois pour séduire la bien aimée. Cela nous conduit dans un troisième mouvement caractérisé par la joie.
Le troisième mouvement dans le cinquième paragraphe, est de caractère gai, en majeur, se déroule dans la soirée ; on revient dans l’idée de la contemplation de la nature avec les éléments présent durant la nuit, aux heures où le rêve s’accompagne de voyage de l’âme vers l’inconnu. Mais très vite le caractère joyeux sur un tempo adagio que décrit l’auteur nous conduit dans un climat très ténébreux. Pour revenir au calme et à la danse.
On devrait avoir des mouvements distincts des autres, mais le caractère romantique et naturaliste de Berlioz, qui montre que la nature est maitresse du temps et de notre vie nous impose ses humeurs.
Lorsque l’on évoque le quatrième mouvement on arrive dans l’idée d’un autre champ de la musique, la musique pure, cette fouis même si elle traduit des émotions, elle se suffit par son jeu.
Berlioz nous fait entrer dans une espèce de requiem, une musique, de marche funèbre en ré mineur ; qui conduit le musicien vers une vision eschatologique après avoir pêché ils se retrouve face à l’angoisse du jugement, sur l’orgue sont joués en harmonie les accords et ces harmonies renvoient sur l’auditeur un sentiment d’angoisse de peur. Les rires traduisent le côté dionysiaque ; ceci est assez troublant car le christianisme à l’opposé de la culture grecque des orgies est de deux mondes différents même si la bible en fait écho avec Paul, on a aussi l’idée cité par Schumann de satanique, on connaissance dans la bible des saturnales ; les scènes de fornications, qui sont à l’origine de la nativité que l’on traduira plus tard par la naissance de Jésus le 24 décembre. Ce côté symphonie fantastique, nous rappelle l’univers des contes d’Hoffmann.
Le critique Robert Schumann alors qu’il s’apprête a participer à la communauté économique européenne il use d’un ton très engagé envers la musique Allemande. Toutefois c’est sur l’intitulé que le problème se situe puisque la symphonie de caractère pastoral dépose l’auditeur dans l’espace de la nature .la musique de Berlioz est quand a-t-elle, nationaliste et patriotique, d’où le rythme militaire de son jeu pianistique, et des cuivres dans les rythmes rapides vifs et répétés, le caractère martial. Technicien de la musique, il participe à un type de répertoire relavant sous la monarchie de Juillet à une révolution de peuple. Ceci est de l’ordre du sensible de l’affect doux est quant a lui offert par le son doux est chaleureux paragraphe 9. Jusqu’au 11 enfin l’auteur retrace de multiples types d’arts qui participent à l’idée de révolution, de révoltes de combats de Shakespeare à Napoléon Bonaparte, à Beethoven, à l’Allemagne encore constituées de différentes provinces. Comme la France pas encore unifiée. L’Europe est en lice vers les conquêtes économique et territoriales. Quant à la culture littéraire et musicale, elle participe au conflit par la propagande artistique, mème si les compositeurs français allemands et russes peuvent nous offrir des instants de partage.
Sur la question du type de composition à laquelle correspond cette symphonie fantastique, ou pastorale , terme déjà proposée par Beethoven , on a tout à la fois , œuvre lyrique mis en musique ou les instruments prennent le rôle des acteurs , et à ‘idée de musique à programme , puisque elle a dans l’idée de fantastique , l’idée d’un monde légendaire que l ‘on ne perçoit pas , comprend pas mais qu’on s’imagine avec les outils de l’univers pastoral
LA SYMPHONIE FANTASTIQUE de HECTOR BERLIOZ
TEXTE DE ROBERT SCHUMANN
Ce qui retient l’intention dans l’étude de l’esthétique ici concerne son questionnement sur l’œuvre de Hector Berlioz la symphonie fantastique œuvre romantique de 1830. Symphonie dans laquelle le compositeur traite les pupitres différemment des compositeurs du classicisme viennois puisqu’il associe les pupitres par timbres et non pas par familles que sont les vents, les cuivres les cordes, les percussions. Cette ouvre rend hommage à Nicolas Ier de Russie. Elle est représentée en 1830.
Hector Berlioz est un chef d’orchestre critique musical né en 1803à la côte de Saint-André.
Son traité le plus connu de 1830 est le grand d’instrumentation et d’orchestration moderne dans lequel il expose les nouvelles techniques qu’il a mis au point, sa façon très conventionnelle de poursuivre l’héritage de la composition dans la symphonie, les pièces lyriques, les œuvres pour petits effectifs et les manières d’analyser les partitions d’orchestre.
Nous pouvons alors nous demander derrière cette œuvre symphonique, si elle correspond à de la musique pure ou à de la musique à programme dans laquelle le compositeur juxtaposerait ses influences du théâtre de l’opéra et la richesse du langage de tous les registre de la musique sans paroles ?
Nous traiterons les éléments du texte en étudiant les éléments du répertoire de qui constituent les symphonies de Berlioz, ensuite la musique la musique à programme et enfin la symphonie en tant que musique pure sans traitement extra musical.
Dans le premier paragraphe, on voit que Robert Schumann explique qu’Berlioz aurait confondu le langage orchestral en donnant à l’œuvre une narration à partir d’outils extérieurs aux langage parlé, mais qui participe au drame, le champ lexical de l’opéra, du chant est exploité : « drame, opéra « ; ces multiples possibilités, on le sait sont les figuralismes, les instruments selon leur factures et leur son, participe à tel moment , ou nous donnent le sentiment d’entendre tel personnage. À l’époque baroque, l’usage des trombones, symbolisaient les enfers, qu’ici ils corroborent à plonger l’auditeur dans un climat de la Russie nationaliste ; entre rythmes militaires sur ostinato, entres notes répétées, la symphonie en quatre mouvements rapide, lent, plus rapide et lent, narrent l’éventement politique sous le règne de Nicolas I et de Russie.
Lorsque l’on bascule dans la Musique a programme, ce qui peut faire partit de l’idée de l ‘opéra est finalement à ranger dans l’étude de la musique à programme, car proprement parlé, ça ne chante pas. On devine les mots selon le sens que l’on fait de cette symphonie selon ces mouvements ;
Hector Berlioz remplace le tsar par un musicien .au lieu du nationalisme, il parle d’un amour homosexuel d’un musicien pour un écrivain ; toutefois la musique à programme rappelle une fois de plus l’opéra même si le climat est différent et les techniques du pré tonal au tonal du baroque de Monteverdi, au romantisme de Berlioz sont différents, pourtant, le thème des passions qui fait débat est là et interroge Robert Schumann.
Une autre œuvre de Berlioz pourrait nous montrer sa passion de l’intrigue et de la psychologie est celle de Faust dans laquelle Goethe, l’auteur du livre, objet principal de l’œuvre, rend hommage à Wagner. Dans cette musique on devine ici l’idée de la tourmente, le son intrigue et consterne, nous emmène là ou ne trouve pas de repaire de stabilité malgré la phrase entêtante de certains passages par des notes répétées. Les sons sont interrompus par des silences les notes sont brèves, comme formant des points d’interrogations dans une phrase suspensive. Robert Schumann parle bien paragraphe 3 de rêve, d’imagination. Il y a se l’on lui le contraste de la passion, de la douleur, de la frénésie interprétée par les rythmes rapides et les notes répétées, des cuivres et des percussions. Cette mélodie évidente et simple dans le premier mouvement nous montre une scène pastorale puisqu’il est évoqué l’usage de la flûte, donc l’instrument du berger.
On peut dans une autre partie du texte voir que cette symphonie représente une invitation au voyage, paragraphe 4 toujours dans l’idée dans le but de troubler l’auditeur. Même si on se trouve encore dans une campagne, l’idée de fantastique traduit bien l’esprit pastorale, de la légende médiévale, du lied médiéval allemand qui est un poème chanté sur le thème de la nature. Mais juste en apparence puisque le lied représente une musique piano chant avec un faible matériau du point de vue de la masse sonore. Le chant doit être comme ici malgré tout composé d’une ligne organique simple peu complexe. Mais la narration du sujet qui trouble l’auditeur doit être étoffée, pour se dépasser dans le monde de la ville ou les gens danse dans l’aristocratie. Ou alors l’usage de l’art courtois pour séduire la bien aimée. Cela nous conduit dans un troisième mouvement caractérisé par la joie.
Le troisième mouvement dans le cinquième paragraphe, est de caractère gai, en majeur, se déroule dans la soirée ; on revient dans l’idée de la contemplation de la nature avec les éléments présent durant la nuit, aux heures où le rêve s’accompagne de voyage de l’âme vers l’inconnu. Mais très vite le caractère joyeux sur un tempo adagio que décrit l’auteur nous conduit dans un climat très ténébreux. Pour revenir au calme et à la danse.
On devrait avoir des mouvements distincts des autres, mais le caractère romantique et naturaliste de Berlioz, qui montre que la nature est maitresse du temps et de notre vie nous impose ses humeurs.
Lorsque l’on évoque le quatrième mouvement on arrive dans l’idée d’un autre champ de la musique, la musique pure, cette fouis même si elle traduit des émotions, elle se suffit par son jeu.
Berlioz nous fait entrer dans une espèce de requiem, une musique, de marche funèbre en ré mineur ; qui conduit le musicien vers une vision eschatologique après avoir pêché ils se retrouve face à l’angoisse du jugement, sur l’orgue sont joués en harmonie les accords et ces harmonies renvoient sur l’auditeur un sentiment d’angoisse de peur. Les rires traduisent le côté dionysiaque ; ceci est assez troublant car le christianisme à l’opposé de la culture grecque des orgies est de deux mondes différents même si la bible en fait écho avec Paul, on a aussi l’idée cité par Schumann de satanique, on connaissance dans la bible des saturnales ; les scènes de fornications, qui sont à l’origine de la nativité que l’on traduira plus tard par la naissance de Jésus le 24 décembre. Ce côté symphonie fantastique, nous rappelle l’univers des contes d’Hoffmann.
Le critique Robert Schumann alors qu’il s’apprête a participer à la communauté économique européenne il use d’un ton très engagé envers la musique Allemande. Toutefois c’est sur l’intitulé que le problème se situe puisque la symphonie de caractère pastoral dépose l’auditeur dans l’espace de la nature .la musique de Berlioz est quand a-t-elle, nationaliste et patriotique, d’où le rythme militaire de son jeu pianistique, et des cuivres dans les rythmes rapides vifs et répétés, le caractère martial. Technicien de la musique, il participe à un type de répertoire relavant sous la monarchie de Juillet à une révolution de peuple. Ceci est de l’ordre du sensible de l’affect doux est quant a lui offert par le son doux est chaleureux paragraphe 9. Jusqu’au 11 enfin l’auteur retrace de multiples types d’arts qui participent à l’idée de révolution, de révoltes de combats de Shakespeare à Napoléon Bonaparte, à Beethoven, à l’Allemagne encore constituées de différentes provinces. Comme la France pas encore unifiée. L’Europe est en lice vers les conquêtes économique et territoriales. Quant à la culture littéraire et musicale, elle participe au conflit par la propagande artistique, mème si les compositeurs français allemands et russes peuvent nous offrir des instants de partage.
Sur la question du type de composition à laquelle correspond cette symphonie fantastique, ou pastorale , terme déjà proposée par Beethoven , on a tout à la fois , œuvre lyrique mis en musique ou les instruments prennent le rôle des acteurs , et à ‘idée de musique à programme , puisque elle a dans l’idée de fantastique , l’idée d’un monde légendaire que l ‘on ne perçoit pas , comprend pas mais qu’on s’imagine avec les outils de l’univers pastoral